C. Allenspach (PS), D. de Matos-Berger (PS), M. Vonlanthen (PS)
Développement du postulat
Dans le plan d'aménagement local révisé, la Ville a esquissé un vaste programme de valorisation de la nature, du paysage et de la biodiversité sur le territoire communal. Différentes mesures ont déjà été mises en œuvre, par exemple la création de la nouvelle place de la route des Arsenaux, la plantation d'arbres et la naturalisation d'îlots de circulation. De grands projets comme la renaturation de la Sarine et la rénovation du parc du quartier du Jura sont en cours de planification. Cela permet d'être optimiste.
En revanche, l'étude Etude Biodiversité montre une image quelque peu différente: certes, 7% du périmètre urbain - notamment des forêts - sont destinés à la protection de la biodiversité et 19% supplémentaires - notamment les jardins et les pelouses - offrent le potentiel d'un réseau de zones et d'éléments naturels. Ces derniers n'ont toutefois pas la qualité souhaitée. Bien que l'étude ne soit pas très détaillée, les auteurs estiment qu'il y a suffisamment de raisons de penser ainsi. La qualité d'une grande partie de ces surfaces est assez modeste et elles devraient être améliorées de manière appropriée et coordonnée en termes de biodiversité.
Ces surfaces et éléments naturels concernent généralement des propriétaires privés de pelouses et de plantations. Pour ces derniers, il n'est cependant pas facile de trouver les instructions et même les plantes nécessaires s'ils veulent améliorer la situation écologique. Dans la région de Fribourg, les entreprises horticoles et les pépinières sont jusqu'à présent peu sensibles aux questions écologiques et ne peuvent guère contribuer à la promotion de la biodiversité.
C'est pourquoi les auteurs du postulat souhaitent que le Conseil communal approfondisse ses réflexions afin de promouvoir la connectivité naturelle en ville:
Quelle aide les services communaux, en particulier le secteur Nature et Paysage et le Service des parcs et promenade, pourraient-ils apporter aux propriétaires privés pour le réaménagement des surfaces? Des conseils et des cours seraient-ils souhaités et possibles, et des plantes indigènes pourraient-elles être obtenues? Les connaissances nécessaires sont-elles déjà disponibles aujourd'hui ou les employés communaux concernés devraient-ils d'abord être formés? Les possibilités en matière de personnel existent-elles ou faudrait-il créer de nouveaux postes? Quelle aide pourrait être proposée gratuitement et à quel prix serait-il possible d'obtenir des conseils supplémentaires et d'acheter des plantes? Le Conseil communal est-il prêt à inscrire au budget les coûts correspondants pour la Ville?
Unterstützung zur Förderung der Biodiversität durch die Ämter der Stadt
Begehren:
Die Verfasser·innen des Postulats wünschen vom Gemeinderat eine umfassende Abklärung, inwiefern die städtischen Dienste den privaten Besitzern von Grünflächen eine Hilfestellung bei der Verbesserung der Biodiversität geben können.
Begründung:
Die Stadt hat im revidierten Ortsplan ein breites Programm zur Aufwertung von Natur, Landschaft und Biodiversität auf dem Stadtgebiet skizziert. Verschiedene Massnahmen wurden bereits umgesetzt, z.B, die Schaffung des kleinen Parks an der Zeughausstrasse, das Pflanzen von Bäumen und die Naturierung von Verkehrsinseln. Grosse Projekte wie die Renaturierung der Saane und die Erneuerung des Parks im Juraquartier sind in Planung. Das gibt Anlass zu Optimismus.
Hingegen zeigt die Studie Etude Biodiversité ein etwas anderes Bild: Zwar sind 7% des städtischen Perimeters - insbesondere Wald - zum Schutz der Biodiversität bestimmt und weitere 19% - insbesondere Gärten und Rasenflächen - bieten das Potential eines Netzes von natürlichen Zonen und Elementen. Letztere haben allerdings nicht die erwünschte Qualität. Zwar ist die Studie nicht genügend detailliert, doch sehen die Verfasser·innen einige Gründe für diese Annahme. Die Qualität eines grossen Teils dieser Flächen sei recht bescheiden, und sie sollten bezüglich Biodiversität in angemessener und koordinierter Weise verbessert werden.
Diese Flächen und natürlichen Elemente betreffen meist private Besitzer·innen von Rasenflächen und Bepflanzungen. Für diese ist es nun allerdings nicht ganz einfach, wenn sie die ökologische Situation verbessern wollen, auch die entsprechenden Anleitungen und sogar die nötigen Pflanzen zu finden. Die Gartenbauunternehmen und die Pflanzschulen sind in der Region Freiburg bis heute kaum sensibel für die ökologischen Fragen und können wenig zur Förderung der Biodiversität beitragen.
Deshalb wünschen die Verfasser·innen des Postulats einige vertiefte Überlegungen des Gemeinderats, um die natürliche Vernetzung im Stadtgebiet voranzutreiben:
Welche Hilfestellung könnten die städtischen Dienste, insbesondere die Sektion Natur und Landschaft und die Stadtgärtnerei, privaten Besitzer·innen bei der Umgestaltung der Umgestaltung der Flächen bieten? Wären Beratungen und Kurse erwünscht und möglich, und könnten einheimische Pflanzen in der Stadtgärtnerei bezogen werden? Sind die entsprechenden Kenntnisse bereits heute vorhanden oder müssten die betroffenen städtischen Angestellten zuerst geschult werden? Sind die personellen Möglichkeiten überhaupt gegeben oder müssten neue Stellen geschaffen werden? Welche Hilfestellung könnte kostenlos angeboten werden und zu welchen Kosten wären allenfalls weitergehende Beratungen und der Kauf von Pflanzen möglich? Ist der Gemeinderat bereit, entsprechende Kosten für die Stadt ins Budget aufzunehmen?
Fribourg, le 5 juillet 2023