F. Müller (PS), M. (PS), D. Cardoso de Matos-Berger (PS), F. Miche (PS), D. Ruffieux (Vert·e·s), G. Collaud (CG-PCS)
Développement du postulat
La ville de Fribourg compte de nombreuses places et places de jeux, ainsi que de nombreux lieux de rencontre situés dans le centre et dans les quartiers. La population y passe beaucoup de temps et y entretient des contacts sociaux. Parfois, ces lieux sont utilisés pour des manifestations publiques. C’est le cas, par exemple, de la place Georges-Python, de la place de jeux du Guintzet ou des Grand-Places. Outre ces lieux connus et aménagés, il existe cependant de nombreux espaces de petite et moyenne taille qui, en raison de leur localisation et de leur configuration spatiale, jouent également un rôle important en tant que lieux de rencontre. Par contre, ils sont quelques fois aménagés de manière peu accueillante et n’offrent pas une qualité suffisante. Il manque notamment de la végétation, qui aurait également un effet bénéfique sur le plan climatique.
Comme le montrent les exemples déjà aménagés, tels que la place Liselotte Spreng, située à l’intersection du passage du Cardinal, de la route des Arsenaux et de la rue Frédéric-Chaillet, le carrefour Richemond, ou encore le projet devant la poste principale à l’avenue Tivoli, les lieux goudronnés et sans arbres peuvent être fortement revalorisés par des mesures ciblées. De tels projets exemplaires sont d’une grande importance pour le développement des quartiers de la ville, mais ils sont liés à des planifications complexes et à des dépenses importantes. Toutefois, dans de nombreux cas, des mesures plus modestes devraient permettre de revaloriser des lieux de petite et moyenne taille et de favoriser l’interaction sociale et la biodiversité. Outre une végétation plus riche dans les sols désencombrés ou dans des pots, des bancs et des tables peuvent être installés pour que les gens puissent s’arrêter confortablement.
Le présent postulat invite donc le Conseil communal à étudier, sur la base des inventaires et concepts existants, un programme portant sur des endroits précis pour que les habitantes et habitants de tous les quartiers puissent en profiter. Il devrait également envisager une approche participative et des mesures ciblées pour renforcer l’interaction sociale et la biodiversité dans les lieux de rencontre.
Die Stadt Freiburg verfügt über verschiedene Plätze, Spielplätze und Begegnungsorte im Zentrum der Stadt und in den Quartieren, auf denen sich die Bevölkerung aufhält, soziale Kontakte pflegt und die teilweise auch für öffentliche Veranstaltungen genutzt werden, wie z.B. der Georges-Python-Platz, der Spielplatz im Guintzet oder die Schützenmatte. Neben diesen bekannten und gestalteten grossen Plätzen, Boulevards oder Spielplätzen gibt es zahlreiche kleinere und mittelgrosse Plätze und Räume, die aufgrund ihrer Lage und räumlichen Beschaffenheit eine wichtige Funktion als Begegnungsorte
haben. Viele dieser Orte weisen jedoch eine unzureichende Qualität auf. Oft fehlt es auch an Vegetation, die sich auch klimatisch positiv auswirken würde.
Wie bereits umgesetzte Beispiele wie der Liselotte-Spreng-Platz an der Kreuzung Passage du Cardinal/Rue des Arsenaux und Rue Frédéric-Chaillet, der Kreuzung Richemond oder auch das Projekt vor der Hauptpost an der Avenue de Tivoli zeigen, können asphaltierte und baumlose Orte mit gezielten Massnahmen stark aufgewertet werden. Solche Projekte sind für die Entwicklung der Stadt Freiburg von grosser Bedeutung, aber auch mit aufwändigen Planungen und teils hohen Kosten verbunden. Oft können aber auch mit kleineren Massnahmen und geringem finanziellem Aufwand (kleinere und mittelgrosse) Orte stark aufgewertet und die soziale Interaktion sowie die Biodiversität gefördert werden. Beispielsweise können Bäume und Pflanzen direkt in den entsiegelten Boden oder in Töpfe gepflanzt oder Bänke, Tische und andere Elemente aufgestellt werden, die zum Verweilen einladen.
Das vorliegende Postulat ersucht daher den Gemeinderat, auf der Grundlage der bestehenden Inventare und Konzepte ein Programm mit konkreten Standorten zu prüfen, von dem die Bewohnerinnen und Bewohner aller Stadtteile profitieren können. Er sollte auch einen partizipativen Ansatz und gezielte Massnahmen in Betracht ziehen, um die soziale Interaktion und die Biodiversität an Begegnungsorten zu stärken.