C. Rugo (PA)
Question
Ma question concerne la limitation du temps de parole. Je pense que c'est le Bureau qui devra y répondre. Lors de la précédente législature, un postulat visait à limiter le temps de parole à la suite de mon intervention de 13 minutes, interrompue 17 fois par M. C. Giller, en 2017. Le Conseil général avait refusé de limiter le temps de parole tout en sachant que le Président pouvait intervenir. Par contre, le fait de recevoir du Président une limitation du temps de parole avant la séance, c'est contraire à la volonté démocratique, étant donné que le Conseil général avait décidé de ne pas limiter le temps de parole. Je ne serai pas plus long pour ne pas être coupé.
Réponse du Président du Conseil général
La situation était très simple. Si je n'informais pas les membres du Conseil général avertissais à l'avance de la limitation du temps de parole que j'avais décidé de fixer, on me reprochait que les gens n'avaient pas la possibilité de préparer leurs interventions. Le fait d'annoncer à l'avance la limitation du temps de parole ne semble pas vous convenir non plus. Si vous avez la solution idéale, je suis preneur en tant que futur ancien Président. Je pense que mes successeurs le seront également.